Michel Di Maggio - Auteur-photographe
LA PHOTOGRAPHIE EST UN POINT DE VUE
Michel commença à emprunter le Régula Sprint de son père pour, principalement, photographier sa famille. Par jeu, probablement, mais avec une pointe de curiosité. Il se souvient encore du photographe de quartier qui avait fait de bons commentaires sur le cadrage d’un de ses clichés. C'est peut-être à ce moment qu'il a commencé à porter un œil différent sur la photographie.
Puis, il a acquis un reflex et s’est initié à la photographie argentique dans la magie de la chambre noire d’une MJC. Son engouement pour l’image est né. Il garde en mémoire des photographies sorties des magazines, autant de souvenirs, de sentiments, et de références culturelles. Il a appris et ressenti en regardant à travers l’objectif. Cela ne l’a jamais quitté.
Aujourd’hui encore, la photographie lui permet d’apprendre en observant et de transmettre sa vision. Il affectionne les grands auteurs : les humanistes bien sûr avec une place privilégiée pour Mario Giacomelli. Il a également une attirance marquée pour les photographes pictorialistes et s’est intéressé aux procédés alternatifs : Van Dyke et Gomme bichromatée le touchent et l’inspirent.
Ses séries expriment ressentis, souvenirs en monochrome et en noir et blanc.
Après la prise de vue, il “triture” l’image et la “façonne” en utilisant des superpositions. Il en tire des négatifs pour obtenir des images avec les techniques du Van Dyke, de la Gomme bichromatée (A.Poitevin 1842). Celle-ci lui permet d’intervenir directement sur la photo avec les outils du peintre et ceux du photographe : négatifs pinceaux, et pigments.
Les images ainsi obtenues transmettent un message, évoquent un souvenir sans aucune forme de hiérarchie.
Puis, il a acquis un reflex et s’est initié à la photographie argentique dans la magie de la chambre noire d’une MJC. Son engouement pour l’image est né. Il garde en mémoire des photographies sorties des magazines, autant de souvenirs, de sentiments, et de références culturelles. Il a appris et ressenti en regardant à travers l’objectif. Cela ne l’a jamais quitté.
Aujourd’hui encore, la photographie lui permet d’apprendre en observant et de transmettre sa vision. Il affectionne les grands auteurs : les humanistes bien sûr avec une place privilégiée pour Mario Giacomelli. Il a également une attirance marquée pour les photographes pictorialistes et s’est intéressé aux procédés alternatifs : Van Dyke et Gomme bichromatée le touchent et l’inspirent.
Ses séries expriment ressentis, souvenirs en monochrome et en noir et blanc.
Après la prise de vue, il “triture” l’image et la “façonne” en utilisant des superpositions. Il en tire des négatifs pour obtenir des images avec les techniques du Van Dyke, de la Gomme bichromatée (A.Poitevin 1842). Celle-ci lui permet d’intervenir directement sur la photo avec les outils du peintre et ceux du photographe : négatifs pinceaux, et pigments.
Les images ainsi obtenues transmettent un message, évoquent un souvenir sans aucune forme de hiérarchie.