Ce matin la mer est dans ma tête
Ce bruit si fort, le bruit du ressac
Occupe, vide, remplit et rythme tout mon être.
La vague culmine, se déchire, le bruit est si fort à sa chute
Il faut faire quelques pas, pour que cela devienne une rengaine
Seul dans le silence le bruit les vagues
du souvenir assourdissant m’entête
Elles vont, viennent et reviennent, nostalgie espérance vaine
C’est le chahut dans la tête
Il faut faire quelques pas, s’éloigner pour que cela devienne une rengaine
Il faut juste faire quelques pas.